Vendredi 2 septembre 2022

Notre dernière ville de l’Equateur (snif).

Après 7 heures de bus depuis Baños, c’est avec une petit pincement au cœur que nous arrivons à Cuenca, dernière étape de notre séjour en Equateur. Nous en avons beaucoup entendu parler par les touristes que nous avons croisé. C’était souvent leur ville coup de cœur.

En arrivant au terminal terrestre, nous avons un gros doute. Jusque-là, aucune différence avec les autres villes bétonnées. Le centre-ville nous fait vite changer d’avis. Les rues pavées et les constructions coloniales du XVIe siècle sont classées au patrimoine mondial de l’UNESCO.

La splendide cathédrale de la Inmaculada Concepción et ses dômes bleus C’est aussi beau de jour

L’atmosphère y est détendue et on ne sait plus où donner de la tête entre tous les petits cafés et restaurants mignons rencontrés sur le chemin. Mais notre plat favori se trouve dans les marchés de ville: le hornado, du porc rôti accompagné de galettes de pommes de terres, de maïs et de salade. Un régal.

Les marchés alimentaires de Cuenca

On donne raison aux touristes, Cuenca est vraiment une ville où l’on se sent vraiment très bien. Jusqu’à il y a environ 35 ans, elle était isolée du reste de l’Equateur par manque de bonnes routes. C’est aujourd’hui un lointain souvenir. La troisième ville du pays arrive régulièrement en tête des endroits où il y a le moins de pauvreté et de sans-emplois et cela se ressent.

Nous avions prévu de découvrir le splendide parc de Cajas et ses nombreux lacs et randonnées à 40 minutes de là, mais je vais être honnête, nous avons eu la flemme. Tom et moi avons donc passé 2 jours dans des cafés à écrire (notamment pour rattraper le retard sur ce blog) et à réfléchir à l’avenir du voyage et au-delà.

Tom en pleine réflexion

C’est aussi l’une de nos dernières occasions de profiter de l’ambiance équatorienne, alors nous profitons de chaque minute.

Hasta luego Ecuador.